Vous connaissez tous Jobboom, Workopolis, Jobillico, etc. Des sites d’emplois généralistes où presque tous les métiers s’entrecoupent. Des fleurons de la publicité Web ou de marketing RH des dernières années. Cependant, ces compagnies aussi importantes qu’elles soient ne respectent pas les nouvelles normes de recherches des internautes. Les candidats favorisent les sites spécialisés et délaissent peu à peu les sites généralistes.

De plus, presque tous les recruteurs spécialisés les délaissent eux-mêmes pour deux raisons principales. Premièrement, à cause de leur prix exorbitant, mais surtout par le manque de qualité des résultats. Beaucoup de CV rejetés et peu de candidats vraiment intéressants.

Pour attirer les candidats intéressants, ces compagnies d’affichage professionnel se doivent d’acheter des annonces. Donc, elles achètent de la publicité pour leur propre moteur de publicité. Un réel non sens lorsqu’on y pense!

Un modèle d’affaires désuet selon les standards de Google

Les standards de recherche dans Google s’appuient surtout sur la popularité des sites d’emplois. Plus un site est important en volume et en qualité, plus il est bien noté dans Google, donc mieux positionné. Mais le classement de Google ne s’arrête pas simplement à ces deux critères.

En effet, Google compte plus de 200 critères d’évaluation pour les sites Web et les sites d’emplois généralistes ne répondent plus à ces normes.

Le seul moyen de survie pour ces grandes organisations est d’investir des sommes colossales en publicité dans Google, afin de garder un semblant de positionnement.

Ainsi, leur positionnement est surtout gonflé artificiellement par un professionnel de Web marketing et d’un budget qui semble sans fin.

Vous repartez avec l’addition!

Évidemment, vous l’avez certainement compris, le budget n’est pas sans fin et c’est le client qui part avec la facture. Plus la clientèle diminue et plus la facture gonfle.

La publicité sur le Web est très dispendieuse à cause du modèle d’enchères des mots clés. Plus on est prêt à y mettre le prix, plus les enchères montent. Dans certains créneaux, et surtout chez nos voisins du sud, certains mots clés peuvent coûter jusqu’à 50 $ du clic.

Évaluez vos options

Lors de votre prochain affichage d’emploi, vérifiez les annonces, regardez les sites d’emplois généralistes et les moteurs de recherche comme Indeed se faire la guerre des mots clés et restez loin de tout ça. Favorisez les sites les mieux positionnés de façon organique (sans annonces), ils coûtent moins chers à l’utilisation et la qualité de vos candidats est aussi au rendez-vous!